Coralyne McScythe

Sujet: Coralyne McScythe Lun 20 Déc - 16:02

Fiche de Présentation

« Coralyne McScythe »
Ft. [Naomi Watts]

Nom : McScythe
Prénom : Coralyne
Surnom(s) : Hélium
Age : 23 ans
Date & lieu de naissance : 13 décembre 1987 à Dublin
Orientation sexuelle : Hétéro
Statut social : Modeste
Etat Civil : Célibataire
Religion : Athée

Famille : Une petite soeur, Elly qui vit encore à Dublin avec son père et sa mère.
Origine : Irlandaise
Capacités : Spécialiste de armes blanches et à feu, de bonnes connaissances en chimie et un excellent sens de l’improvisation
Phobie : La neige
Pêché : Colère
Secret : A vu l’homme de sa vie mourir sous ses yeux, possède des os des mains très fragiles et a subi une greffe de cornée suite à un accident de voiture.
Désir : Vengeance
Tic : Se mord tout le temps la lèvre inférieur
Spécial : Un tatouage lui couvrant le dos et représentant un phoenix et un autre sur le revers de son poignet droit.

Caractère

Coralyne est une jeune femme blessée. Il n'y a pas d'autre mot pour la qualifier. Abîmée par la vie. Qui lui a forgé un caractère solitaire, dépressif, colérique et fatiguée. Autrefois, elle était de nature sympathique, gentille, altruiste. Certes maladroite, mais gentille autant qu'il était possible de l'être. Mais c'était avant. Maintenant, si elle s'entoure, ce n'est que pour avoir plus de chance de retrouver l'homme qu'elle cherche. Jetée corps et âme dans sa spécialité des armes à feu, elle n'a pas réellement d'autre passe temps, la musique lui rappelant ses parents, la lecture son défunt amour. Coralyne est donc l'exemple même de la personne torturée à que la vie à modulée à ses envies. Si elle sourit parfois, c'est un sourire absent et mélancolique. En revanche, Coralyne a pour elle qu'elle ne pleure jamais. Certainement que c'est son impressionnante capacité d'adaptation qui lui octroie cette retenue, ce contrôle de soi qui fait qu'elle joue terriblement bien la comédie et fin des expression d'un réalisme effarant.

Gare, par contre, à celui qui la mettra en colère ou qui parviendra à briser son épaisse carapace. Car si en dessous se cache une délicate fille brisée et sensible, ce n'est certainement pas ainsi qu'elle se montrera à ce moment là. Non, Coralyne s'est jurée intérieurement de ne jamais étaler ses sentiments. C'est certainement cette promesse qui lui a accordé à timidité maladive dont elle est victime. Imaginez donc percer ses secrets, découvrir la vérité. En face de vous s'effacerait rapidement la jeune femme timide, discrète, délicate, pour laisser place à une furie portant toute la haine du monde. Une furie maniant diablement bien les armes à feu. Alors, dans ce cas, mieux vaut être loin, très loin, sous des couches et des couches de protection.

Physique

Coralyne est une jeune femme au physique de tout ce qu'il y a de plus délicat : Un corps mince et élancé, assez petit, mais suffisamment découpé pour ne pas que cela choque. Des traits fins, de grands yeux verts brillants d'intelligence, une bouche parfois lourde mais joliment découpée. Des cheveux blonds, mi-longs. A quoi l'on rajoute le fait que le tout soit terne comme sortant d'une maladie ou d'une sérieuse dépression et les traits de la fatigue continuelle.

Coté vestimentaire, Coralyne ne fait rien d'exceptionnel. Se contentant généralement d'un jean, d'une veste en cuir et d'un tee shirt le plus simple possible (pourquoi faire compliqué ?), ne se souciant d'être bien habillée que lorsqu'on lui faisait remarquer que pour tel ou tel évènement, c'était tenue de soirée obligée, la mode est, comme vous l'aurez deviné, le dernier de ses soucis. Il en va de même pour sa coiffure, ses ongles, ou tout ce genre de chose qu'une jeune femme de son âge normalement constituée se soucierait.

La seule chose dont elle se soucie sont ses yeux, car comme elle aime à le répéter "Les yeux sont le reflet de l'âme", et qu'elle se trouverait bien embêtée de se retrouver mise à nue par quelqu'un qui aurait décrypté ses yeux et tout ce qu'ils peuvent trahir. C'est donc à grands coups de crayon qu'elle habille ses yeux souvent larmoyants histoire de paraître un peu au lieu d'être simplement.

Histoire

On dit que le bonheur est éphémère et qu’on ne considère sa véritable valeur qu’une fois qu’on l’a perdu. Coralyne est l’exemple même de la première constation. Elle est la triste victime de la seconde.

Fille d’une violoniste hors pair et d’un ténor renommé, avant même le jour de sa naissance, sa vie était toute tracée. L’unique fille de ces deux personnes si talentueuses ne pouvait que l’être également. C’est d’ailleurs pour cette raison précise qu’elle fut, dès son plus jeune âge, habituée à tenir une flûte entre ses doigts, à gratter les cordes d’une guitare et à connaître par cœur les touches d’un piano. Une vie de princesse. C’est ainsi que tout le monde qualifiait la vie de la demoiselle, qui, couverte de cadeaux, douée et déjà sous les feux des projecteurs, brillait comme la nouvelle étoile de la musique classique. Longtemps, on se demanda comment tout ce beau monde avait pu s’effondrer en si pue de temps. C’est à la sortie d’une représentation que l’existence de Coralyne fut détruite. Détruite par un chauffeur ivre qui la renversa sa la chaussée. Elle perdit la vue. Elle perdit le succès. Elle perdit l’amour de ses parents. Tout fut si rapide, si précipité que Coralyne n’eut que le temps d’apercevoir son existence qui filait devant elle sans prendre le temps de se retourner.

Malgré la réussite fulgurant de sa greffe de cornée, les médecins furent incapables de réparer sa gorge, dont la voix menaçait de se briser à chacune de ses paroles. Personne ne se cacha qu’elle ne pourrait plus jamais suivre le rythme de vie qu’elle menait avant. Que la fragilité de ses os des mains rendait incapable la pratique trop fréquent d’un instrument. Un désastre pour ses parents, dont tous les rêves de gloire s’effondraient comme un vulgaire château de gloire. Il leur fallait renoncer au succès de leur fille. Mais pire encore, il leur fallait renoncer à leur propre succès pour s’occuper de leur fille. Les deux mis côte à côte leur paraissait invraisemblable, impossible, improbable. Le succès, bien plus que leur fille, était leur vie.

Elly naquit quelques 9 mois plus tard. Alors que sa sœur s’adaptait à ses nouveaux yeux, à sa nouvelle vie, déjà la nouvelle petite fille était préparée à un avenir encore plus grandiose que sa sœur. Lorsque celle-ci put enfin retourner chez elle, parée de nouveaux yeux prélevés sur un total inconnu, tout avait disparu. Toute son ancienne vie n’était plus que poussière. La seule chose qui comptait dans cette maison, c’était sa sœur, c’était Elly, l’étoile montante, la
perle de la famille. Et ce pendant toutes les années qui suivirent durant lesquelles Coralyne tomba plus bas, encore plus bas, une déchéance sans fin dans la dépression, la haine, puis l’alcool …

Il semblait qu’elle avait atteint un stade de non retour lorsque sa vie pris un nouveau virage. Un nouveau détour. Un nouvel horizon. Coralyne rencontra James dans un bar, à la caisse. Il ne leur fallut pas beaucoup de paroles pour savoir qu’entre eux, tout était déjà dessiné. Le coup de foudre, dans les règles de l’art. Il ne leur fallut pas beaucoup de temps non plus pour fuir tous les deux loin, ailleurs, seuls. Elle fuyait sa famille. Il fuyait ses problèmes financiers. Ils recommençaient tout depuis de début, ensemble.

Rêver éveillé, vivre dans un rêve, il existait bien des expressions pour décrire la vie qu’ils menèrent tous les deux. Rien ne semblait les atteindre. Elle étudia la chimie. Lui le dessin. Il travailla dans un bar. Elle profita de son talent de musicienne pour jouer dans ce même bar. Ils se forgèrent une vie que rien ne semblait pouvoir briser. Leur rêve dura 4 ans. 4 ans d’amour éperdu. 4 ans durant lesquels plus rien n’avait d’importance. Rien d’autre que la main de l’autre dans la sienne. Rien d’autre que le regard de l’autre sur soi.

Jusqu’à ce que les problèmes les rattrapent à grands pas.

C’était un jeudi soir. Coralyne s’était attardée chez une amie pour ses cours. James avait pris le service de début de soirée, au bar. Elle devait le retrouver devant le bar à la sortie des cours. Il devait l’y attendre. Elle avait tenu à passer chez son amie pour prendre ses cours. Ne la voyant pas arriver, il avait voulu avancer sur son chemin pour lui acheter des fleurs et lui faire la surprise

Tout est partit d’une simple histoire de travail. Puis d’argent. Le leader de la bande qui avait coincé James dans un coin avait commencé à vouloir lui voler ce qu’il avait sur lui. James avait opposé une maigre résistance, puis, à la vue de l’arme qu’ils braquaient sur sa tempe, il leur avait donné tout ce qu’il avait sur lui. Ils avaient aperçu l’éclat de son alliance qui ballottait à son coup. Deux bagues uniques faites par un ami bijoutier. L’autre était au doigt de Coralyne. Etrangement, à ce moment précis, son doigt, qui ne l’avait plus fait souffrir depuis longtemps s’était mis à lancer Coralyne. Le leader avait tenté de l’arracher à James. Après tout, il pouvait en tirer un bon prix. Il s’était défendu. Avait griffé le chef de la bande. Qui n’avait pas apprécié. Le coup de feu dans le ventre de James était partit tout seul. Une fois à terre, les autres n’avait pas eu de mal à lui prendre ce qui, selon eux « leur revenait de droit » et à partir joyeusement.

La silhouette sombre allongée à même le sol n’avait frappé le regard de personne. Elle n’aurait pas frappé celui de Coralyne non plus si, lorsqu’elle était passée, un rayon de lune avait réfléchit sur la flaque de sang au sol. Elle n’avait pas tout de suite reconnut James. Son cœur avait raté un battement lorsqu’elle avait reconnut ses traits fins, sous ses cheveux longs et blonds poisseux de sang séché. Il vivait encore lorsqu’elle avait posé sa tête sur ses genoux et hurlé à l’aide entre deux sanglots. Il lui avait murmuré qu’il l’aimait, et alors qu’il s’apprêtait à lui dire qu’il la remerciait, son souffle s’était coupé. Alors, dans un dernier tressaillement, il avait posé sa main sur sa poitrine là où était normalement son alliance. Coralyne n’avait pas mis longtemps à comprendre. Celui qui avait fait ça, qui avait tué le seul être auquel elle tenait avait son alliance.

Coralyne avait vu s’éteindre son bonheur, pour la seconde fois. Elle avait une nouvelle fois tout perdu. Tout était devenu noir et sombre. Lorsqu’elle s’était réveillé de son sommeil, de sa mise en veille, c’était quelques mois plus tard, alors qu’elle était attablée à un comptoir de bar, un énième verre à la main. Les deux hommes d’a coté venait de sortir un révolver et de le poser sur le comptoir. Le reflet des lampes sur l’arme avait tout de suite attiré l’œil de la demoiselle. Tout de suite, elle avait sentit que sa main était faite pour la tenir, cette arme, pour la manier. Son comportement fasciné n’avait pas échappé à l’un des deux hommes qui avait sauté sur l’occasion. C’est ainsi que Coralyne découvrit son talent et a passion pour les armes à feu. Rapidement, elle apprit à en démonter certaines et en remonter d’autres les yeux fermés, elle se tint au courant des dernières nouveautés. Elle s’insurgea complètement dans la seule chose qui lui permettait d’oublier la douleur, d’oublier la souffrance, d’oublier le souvenir douloureux de James qui demeurait dans son cœur comme sur sa peau telle une marque au fer blanc.

Cela faisait plus d’un an et demi qu’elle connaissait le détenteur de l’arme lorsqu’il lui proposa d’intégrer son lieu de travail. Tu as tout le potentiel pour, disait-il. La belle excuse. Tu atteindras ton but. Lui déclara-t-il alors qu’elle ne lui avait jamais rien sur son histoire. Comme s’il lisait en elle comme en un livre ouvert. Alors, elle le suivit. S’il avait su comprend ça en elle, s’il avait su lui faire tant de promesses, il devait avoir raison. Et le réseau de contacts qu’il semblait avoir était certainement le meilleur point de départ pour retrouver le meurtrier de James. Le retrouver grâce à son alliance. Et tuer. Tuer celui qui avait fait ça. Celui qui l’avait privé de la seule chose à laquelle elle tenait.

Hors RPG

Pseudo : Patachon-chan
Âge : 16 ans
Double-Compte ? : Nein
Comment l'avez-vous connu ? : Par Helen Scott
Comment le trouvez-vous ? : Sympathique tout plein ^^
Présence (/7) : 7/7 ?
Code du règlement : Validée by fonda powaaa' =)

Sujet: Re: Coralyne McScythe Lun 20 Déc - 17:04

Bienvenue !
Il manque caractère, physique et pêché et c'est parfait !
PS: Waou l'histoire.... 0_o

Sujet: Re: Coralyne McScythe Lun 20 Déc - 17:25

Bienvenue !! La pauvre Coralyne... je ne voudrais pas être à la place du meurtrier de son petit copain... il va souffrir XD. A bientôt une fois ta fiche finie !!

Sujet: Re: Coralyne McScythe Lun 20 Déc - 21:04

Mon p'tit Patach' adoré Smile

On rechantera ensemble hein hein hein ! Very Happy

En attendant, j'te souhaite -une fois n'est pas coûtume- la bienvenue ici !
Have fun !
PS. Ton histoire, quelle VDM ! O_o
PS Bis. J'allais te proposer Naomi Watts comme vava xD Les grand esprits...

Sujet: Re: Coralyne McScythe Lun 20 Déc - 21:11

Merci beaucoup à vous trois ! ^^

Matt, c'est sûr, celui qui a fait ça va morfler ! xD

Helen, on rechante quand tu veux ! >< (Et oui, les grands esprits ... Cool

)

Edit : Finish ! =3

Sujet: Re: Coralyne McScythe Lun 20 Déc - 23:07

Validée ! Bon Rp' ! =)

Sujet: Re: Coralyne McScythe Lun 20 Déc - 23:07

Marchiiiiiiiiii ! ^^

Sujet: Re: Coralyne McScythe Mar 21 Déc - 12:59

Bienvenue !!
Patachon, ça faisait longtemps =D ♥
Superbe fiche *o*
Idem, le code a légèrement bugué, mais bon, tant pis XD

Fiche Validée.

Sujet: Re: Coralyne McScythe Mar 21 Déc - 15:21

Marchiiiiii ! ^^

(Il faudra vraiment que tu m'aprennes à me servir du css un jour u_u)

Sujet: Re: Coralyne McScythe Mer 22 Déc - 12:52

Je peux toujours essayer de t'apprendre, mais après, le CSS et le HTML, c'est pas la même chose... Malheureusement, sinon j'aurais pas autant galéré pour faire la Page d'Accueil notamment ==" XDD
Mais si tu as besoin, n'hésites pas, je me ferais un plaisir de répondre à tes questions ;P

Bon, stop flood maintenant x3

Sujet: Re: Coralyne McScythe