Vivre, c'était profiter des autres, ce qu'ils avaient ,ce qu'ils n'avaient pas, leurs faiblesses, leurs qualités, leurs conneries, leurs intelligences. Et toute relation d'amitié, d'amour, même d'ennemi faisaient toujours objet de profit ! C'était une chose certaine prouvée par la psychologie elle même. et puis c'était flagrant, que serait un homme seul ? un animal beaucoup plus sauvage, et largement moins coincé par les limites d'un monde. Alors voilà, maintenant, je profitais des autres. le meilleur endroit ? les boites de nuits, les bars. l'innatention des gens faisait mes vols. C'était les meilleurs endroits pour récuperer argent, bijoux de valeur qui tombaient, bref, ce genre de chose. Tout ce que je savais, c'était que cette boite de nuit était connue. Effectivement, en y entrant, j'hallucinais en voyant le monde qu'il y avait. Je déglutis difficilement. Heureusement qu'on avait l'habitude de dormir les uns sur les autres, parce que punaise, c'est le genre d'endroit ou on oserais pas aller tout seul sinon. Je restais au milieu de la salle comme idiote, mal à l'aise, à pas savoir ou aller. Il y avais en face de moi un monde de consomation auquel exeptionnellement, j'allais participer ce soir. Et ben décidement, fallait de l'alcool dans les verres, de la weed dans les cônes, des bimbos dans des bottes qui coutent la peau du cul, et des garcons à la chemises qu'ils porteront qu'une fois après avoir gerber ce qui aurait pu leur generer un coma. J'eus du mal à passer dans la foule, jusqu'au bar. Je soupirais. Allez, fallait se mettre à l'aise un peu. Je me tournais vers la serveuse, le regard noir, et le visage las.


Celui ci fut servi aussi tôt. L'homme à coté de moi, avait l'air de me regarder légèrement sur le coté, je ne dis rien. Je m'en fichais totalement. Je regardais les autres, pour savoir lesquels viser. Les plus bourrés, les plus gênés d'être entrain de danser avec quelqu'un d'autre qu'ils ne feront pas attention à ce qu'ils auront dans la poche. Un homme légérement ivre, poussé contre le bar donna un coup dans le verre que tenait une serveuse pour le voisin du mien. BIen sur, un jolie verre tomba sur la si belle chemise de monsieur l'observateur. Sans m'en rendre compte, je me foutais pleinement de lui, et à ne pas me cacher. Je le regardais. Effectivement, sa pauvre chemise. Elle s'était prise un demi pêche, autrement dit, de la biere et du sirop de pêche.. c'est pas du tout collant ou autre cette chose. Le garcon était mignon, mais avait pas vraiment l'air dans l'ambiance.. en fait un peu comme moi, je me demandais bien ce qu'il faisait ici. Un truc était sur, je ne voyais pas comment me mettre dnas l'ambiance, avec tout ces gens remplis d'euphorie inutile du à des choses avalées ou fumées. Des gens qui se croyaient heureux entourés, mais quand ils se retrouveront tout seul, ils seront mal, metteront de la musique dans leurs oreilles pour ne plus rien penser, et s'oublier.. Ah oui, quel manque d'auto analyse. Et pourtant ,un jour ou l'autre, ils y seront forcément ammener. Lors d'une phase dure de leurs vies, ou un déclic. Ou alors ils resteront stupides jusqu'a la fin de leur jour. La chance. Sans être prétentieuse, quel bonheur devrait être que d'être débile.

La remarque du nippon me fit encore plus rire. S'il croyait me vexer.. Et bien, il n'était pas prêt d'y arriver en fait. Hors, tout le monde me demandait de ne pas m'amuser à leur dépend. Mais ils croyaient quoi tous ? que l'humour ne se basait pas sur la moquerie peut être..? Fallait pas se croire dans le pays des bisounours. Et je me fichais que ce soit à ces depends, tout ce que je sais, c'est que ca l'a bien soulé de se prendre un verre dessus, et que moi, les gens blasés me font tant rire. Pourquoi était il aussi succeptible. Aie aie aie.. Vraiment ,qu'est ce que l'on s'ennuit ici. Je levais un oeuil en voyant le criminel du verre tombé. Je fis une tête dégouté. Lui, pour être torché, il y était allé fort. Mais il ne fallait pa sle juger, je ne le connaissais pas, alors il avait bien le droit de s'amuser, bien que la, il était à l'échelle du ridicule, et bien au dessus du pitoyable. Le pauvre. Je vis l'homme agréssé prendre le portable, pas très discretement, je souris méchament. Je ne savais pas ce qu'il lui faisait avec son portable, mais moi, à coup sur, je l'aurais gardé.. Bon, là, je pensais bien évidement m'en abstenir, vu la tête qu'il venait de faire, il devait avoir commis une connerie. Bref, tout cela était bien étrange, et m'interessait peu. Ce garcon n'avais pas vraiment l'air interessant. Je m'accoudais au bar. Et bien, je trouvais la raison du pourquoi et du comment je n'aimais pas ces lieux. C'était la décadence totale. vivement que sa se vide. Il fallait que j'arrive à me plonger dans leur monde. Autrement dire que il y avait rien qui m'atirrait dedans. Mais c'était pour vivre Lilja, il fallait que je me dise ca. Même s'il y avait plus de jours ou je me demandais ce que je faisais plutot que ceux ou je me levais le sourire au lèvres, prête à assumer les difficultés de la vie. La seule chose passionnante ici était la musique. Je regardais le liquide qui était dans mon verre, et mes doigts tapaient dessus au son qui retentissait. Je sentais le regard du garcon pesait sur mon dos. Ca m'énervait. S'il croyait que j'étais assez cruche pour ne pas le remarquer. Je restais peu de temps comme ca, la patience n'était pas vraiment mon fort, voilà pourquoi je ne serais jamais un sniper.. Après avoir soupiré mainte et mainte fois, j'ouvris enfin la bouche.

<<- T'as un problème face de Nem ?>>

Je me tournais vers lui, le regard indifferent qui donnait un air sauvage. J'attendais bien évidement une réponse. Et bien, se pourait il qu'il y est un être interessant ici ? OH, bien sur que non, ca n'avait pas l'air d'être le genre du coin. Je vaguais vers mes pensées le temps qu'il réponde.

* C'est du beau nem quand même.. Bien qu'il me fasse penser à un garcon perdu sans amis, dénué d'intelligence, Ouai, faut pas juger par le physique, ca le monterait trop dans mon estime..*

Je le regardais dans les yeux, le pauvre chou était bien trop succeptible pour moi bien que physiquement, il soit très mignon, sérieusement, niveau caractère, il n'avait rien d'interessant. Rien que faisait que je l'appréciais beaucoup. Je le regardais, du genre trop choquée, qui le prenait pour un débile.

Je buvais d'un trait mon verre. Il était un gamin pathétiquement aussi associable que moi. Je vis l'homme en noir tout comme mon voisin arrivait. Je souris. PAUvre chou, il avait un travail, et on l'appellait ,alors que d'autres se crever la santé pour ne serait n'avoir qu'un job. Franchement, mais quel égoisme quoi ! Celui ci partit, je me levais, alla de l'autre coté du nippon, reposa mon verre, et tandis que je passais ma commande, ma main avait doucement glissé dans la veste du japonais pour lui prendre l'enveloppe. Ma discretion habituelle l'empecha de me remarquer. J'étais née avec ce don de passer inapercue, rien qu'aux yeux de mon père. Je pris mon verre, et comme si rien n'était, je me mis un peu plus loin, toujours assise au bar. Certes, je voulais qu'il me voit. On se cronfrontait pas sans moi, sans qu'il y est de la répartie. J'ouvris l'enveloppe et en sortit un plan. Je compris vaguement ce que c'était, bien que l'informatique n'étais pas vraiment mon fort, cela avait l'air de reprenter une sorte de choses, de comment entrer pour prendre quelque chose. Je me plongeais à fond dedans pour comprendre, et je souris en sentant le regard du japonais sur moi. Je ne réagis pas, fi comme si rien n'était. La suite risquait franchement d'être interessante.

J'haussais les sourcils. Avant d'éclater de rire, je n'y croyais pas, il croyait donc tout le monde était aussi accroché à sa nationalité ? Cela me fit grandement sourire. Je me fichais totalement d'être confondue avec une russe. JE me fichais d'être norvegienne, ce n'était que des terres délimités par des conflits qui faisaient un nom à mon payx d'origine. Tout ce que je pouvais affirmer, c'était que j'étais terriene.


Après m'être lever, et m'être assise bien plus loin, j'étais à fond dans les documents qui avaient l'air bel et bien confidentiel. On pouvait pas dire que je comprenais tout, l'informatique, je connaissais pas, moi, ca aurait été des trucs avec des armes cachés, vous voyez le genre quoi. D'ailleurs, je ne voyais aucun interêt à l'informatique, c'était un moyen de communication capable de tuer sans que personne soit responsable. C'était là ou les gens enfouissaient leur folie pour dénigrer, aimer, inventer. C'était là ou les gens s'exposaient en public sans aucun gêne, comme s'ils croyaient que jamais ce ne sera utilisé contre eux. De toute faocn, que j'aime ou pas, je n'avais pas d'objet informatique, et jamais je n'en n'aurais, je le ferais vieux jeu comme les personnes agées de 70 et je m'en foutais royalement. J'préfére crever dans la douleur d'une balle dans le coeur plutôt que seule, derrière un écran, de dépression ou d'obesité a force de ne pas bouger. Bon, certes, c'était une généralité, mais malheureusement, c'était plus propice que de se prendre une balle.
Perdue dans mes pensées, je vis arriver le japonais qu'au dernier moment, me faisant sursauter en tapant du poing sur la table. Moi changer mes habitudes ? Mais tout cela, volait, inégalité, j'en avais besoin pour vivre, ca donnait du piquant à ma vie. J'étais née comme ca, à m'opposer aux systèmes de politesse et de lois, c'était presque devenu une drogue que de chercher les ennuis. Je pris la suite comme une menace, et accepta peu la fin. Me traiter de gamine était mal me connaitre. Me sous estimer, pourquoi pas, à ce point non. Je pris du temps à réagir, il était déjà parti vers la sortie. Je le suivis dehors, et sans aucun gênes, je le retournais et lui donna un poing en pleine figure. Je ne me rendais pas vraiment compte du pourquoi et du comment je m'énervais autant pour si peu.. Mais me traiter de gamines, j'y avais bien du mal.


J'avais beau être plus petite, je n'avais pas peur de lui. J'avais un poignard bien préparé dans la main. On ne me provoquait pas comme ca. Je lui lancais un regard rempli de dégout, et me remis à marcher, traversant la route, sans même faire attention s'il y avait une voiture ou pas. Je m'en fichais serieusement de me faire écraser, j'étais bien trop dans les étoiles à ce moment précis.. Me mettre autant en colère il fallait le faire, mais l'insulte de gamine, c'est le genre de douleur qui vous percute, vous fait couler la larme sur la joue, et vous vous mettez à vous énerver pour un idiot inconnu. Je pouvais supporter qu'on me traite de catin ou autre.. mais pas de ca, c'était bien trop péjoratif à mon gout.

Je ne lui avais pas répondu. Lui, difficile de croire qu'ii ait déjà pu vivre dans la rue, avec ces grands airs, et ces répliques du genre, jugement dès la première vue. Voleuse, voleuse, et voleuse. Quoi d'autre ? Il n'allait dont pas le rpeter un mot sur deux si ? on pouvait voler et respecter. Si j'avais volé, ce n'était que pour simple information, oui, je l'avais dit, j'aimais l'action, j'aimais les choses hors norme et tabou, hors, cette facon dont l'homme en costard cravatte avait ammené l'enveloppe faisait un peu mafieux si vous voyez ce que je veux dire. Hors, même si ca avait été du suicide que de choper l'enveloppe, je l'aurais fait, pour l'adrénaline que sa procure grâce au stress et toute ces conneries comme ca.
Je traversais donc la rue, ne regardant pas. Et non, c'était ca le gout du risque, aller sans regarder les obstacles, près à vous tuer. Il fallait le dire, je vivais avec l'instintc, la sauvagerie, tout les jours, j'aimais le coté animal et féroce de la vie. Je ne pouvais pas justifer cette chose. Je ressentis alors une attirance vers mon bras, et en quelques millièmes de secondes, je me retrouvais contre quelqu'un. Je me pris son odeur en plein dans le pif. Pas detestable, mélangée à la sueur légèrement. Une odeur assez appréciable. Je ne captais rien de se qui se passer, avant de faire plusieurs pas, en arrière, repoussée, mais j'arrivais tout de même, à ne pas tomber par terre. Un record. Je restais bloquée un certain moment, J'avais les yeux ronds, et je finis enfin par lui répondre aussi fort que lui m'avait parlé.


Ouai bon, c'était le truc à l'agacer, mais moi ca me faisait rire. Il allait sans doute rager. Je n'arrivais pas à savoir comment lui parler il prenait tout mal visiblement. Rho, puis c'était mort pour ce soir les relations sociales. Le pire, c'est que j'aurais pu partir sans lui donner son reste, mais j'étais pétrifiée. Je n'arrivais pas à m'expliquer, ce garcon lunatique commencait à me fasciner, mais à m'effrayer aussi. La preuve, je n'osais plus bouger, par contre, la répartie était toujours là. D'un coté, j'esperais qu'il parte, et que je destresse pour m'enfuir à mon tour, de l'autre, il commencait à devenir intriguant à mes yeux. Curieuse comme j'étais, je voulais le cerner.

J'étais tout simplement hallucinée. Il avait enchainé tout cela à une vitesse extrème. Des paroles bien opposées tout de même. Si seulement je pouvais lire dans les pensées pour comprendre ce qu'il avait à ce moment précis. Peut être un pétage de cable inutile. Etais je vraiment une fille de d'habitude.. Etait ce comme si c'était la première fois que je frôlais la mort ? pas vraiment. Bon, bien sur, je me souviendrais, la première confrontation que j'ai eu avec un gars de mon père. J'avais eu la peur de ma vie, et je pouvais valider que l'on ne voyait pas sa vie passait devant ces yeux. On voyait juste un trou noir, inutile, qui vous rappelle la solitude dans laquelle vous finissez votre vie. Et oui, dieu ne nous accompagne pas vers la mort, il n'a jamais vécu. C'est après cela que on ne croit plus en aucun croyance, même pas à celle de ne pas croire.


Oh oui, j'aimais souler les gens. Il ne fallait pas me demander pourquoi j'étais célibataire. Mes piques fusaient trop vite pour que mes ex puissent les rattraper au vol. Alors forcement, j'avais toujours la même excuse. T'es pas la fille à qui je m'attendais. Alors depuis, et ben voilà, ils étaient repoussés dès le début les mecs ! JE m'étais enfin tue, ne répondant pas à sa remarque désagréable. Même s'il depuis que je l'avais vu, il ne faisait que ca, gaspiller sa salive.


Je fis un sourire faussement chaleureux. Ben après tout, autant faire le faux cul des deux cotés non? on va pas se priver tout de même. Et puis, tout deux savait que le ca va, et le merci ne venait que de la bouche et pas du coeur.Je voulais bouger, mais j'étais un peu tétanisée. En effet, lorsque il avait ragé, comme je l'avais prevu. J'ai fais un pas en arrière, effrayée, mais intriguée. Il était vraiment flippant ce mec, son regard, sa facon de se porter et de parler.. TOut était bizarre, et j'avais bien du mal à le cerner. Ainsi, je restais plantée la, comme une nouille qui trouve pas sa grosse cuillère.J'essayais un nouveau pique méchant pour faire en sorte qu'il parte histoire, que je puisse aussi me déconecter quoi.


Bon, mon regard ne confirmait pas autant de méchanceté gratuite. Il en confirmait un peu, comme d'habitude, mais à ce point... Bref, le garcon succeptible, allait sans doute me retourner un truc en pleine tête Et je voulais l'avoir.

Je restais buguée. Non mais ca va là, depuis quand je suis pas humaine ?! c'était trop... trop.. Eclatant ! je me retenais de rire. Ah, ouai, à ce point, je le soulais tellement qu'il ne me considérait pas humaine. Rho, quelle méchanceté tout de même. La suite se fit interessante.. En fait,c'était plutôt amusant de se faire casser, mais si réaliste d'un autre coté ! Je ne pus cette fois, m'empecher de rire.


Effectivement, tout le monde nous regardait nous clasher, sans comprendre la haine que peuvent ressentir deux personnes en se regardant, sans comprendre l'agacement dont on faisait pas. Mais je crois que tout comme moi, le nippon était agacé par tout. Peut être même par lui même. C'était peut être ce qui nous ammené ici, à parler sans interêt, sans comprendre, pourquoi on était face à une personne aux caractèristiques semblables.
Oui, je croyais m'en sortir aussi facilement, après tout, peu étaient aussi coriace. Souvent ils partaient énervés ou vexés, souvent ils ammenaient leurs potes pour me donner deux trois baffes dans la tête. Mais visiblement, ca ne croisait même pas son esprit. Peut être qu'il n'était pas aussi sensible que cela. C'était à la fois dommage et bien. DOmmage, car les personnes sensibles ressentaient le mal du monde, et bien parce que je pouvais encore m'amuser avec lui. Il avait raison, j'étais un sacré parasite.


Il s'approcha de nouveau de moi, et je ressentis la même sensation que lorsqu'il avait crié. Effrayée. Sa grandeur, ses traits durs. Je coupais ma respiration, il pouvait pas repartir loin histoire que je destresse quoi ?! Je soupirais. Un verre. ca coutait vraiment la peau du cul, heureusement que je savais parfaitement voler comme me le disait si bien le nippon. Finalement légèrement blasée, je fis comme lui, le regardant dans les yeux, bon pas en mettant genre ma petite taille au dessus, chose impossible, mais en lui faisant un jolie regard noir de vipère.


Je le poussais après un effort surhumain sur moi même pour arrêter d'avoir peur. DE je ne sais trop quoi d'ailleurs, puis je traversais une nouvelle fois la route, comme si rien n'était. Bon, là, il y avait moins de voitures, aucun risque que je ne m'en prenne une de plein fouet. C'est vrai que c'était mon grand truc ca, ne pas faire attention ou je marchais. J'entrais dans le bar, sans doute suivie du nippon. Sans même me retourner vers lui, je m'asseyais sur un des tabourés, et lui posa une question.

Je souris. Franchement cette fois. Chacun se débrouillait comme il le pouvait, c'était une chose certaine. Je m'imaginais, moi, frustrée. Peut être que ca pourait me faire un grand bien, me donner une claque dans la tête comme je n'en ai jamais eu. Sa réaction suivante, me fis emettre un petit rire. Je ne savais pas si c'était moi qu'il fallait qualifier de tarée. Je ne me sentais personellement pas ainsi.


Je soufflais enfin, et bien.. Ca c'était des tirades ! Il était vrai que j'avais du mal à le supporter, mais d'un autre coté, je n'avais pas envie que l'on reprenne nos chemins aussi vite, alors sa petite vengeance était très bien. Il m'intriguait, je voulais en savoir plus, et pas en rester là, avec sur ma mémoire une personne étrange que je n'ai pas pu explorer en quelque sorte. Quand il entra, je l'observais un moment, sa facon de se tenir, son visage, si froid, si appeurant, et fermé. En fait, je n'avais peut être pas l'habitude de voir ca par les autres. Et puis comme je l'avais dis, les clash's duraient moins longtemps, je gagnais souvent ou alors je me prenais un coup. Là, non rien de ca, peut être que le japonais était trop blasé pour s'énerver. Peut être qu'il était tout simplement assis. Mais plus les secondes passaient, plus j'étais étonnée. SI imprevisible !