Lali Zaffarano arrive !

Sujet: Lali Zaffarano arrive ! Mer 15 Déc - 20:01

Fiche de Présentation

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« Lali Zaffarano »
Ft. [Ashley Greene]

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Nom : Zaffarano
Prénom : Lali
Surnom(s) : Furie.
Age : 20 ans.
Date & lieu de naissance : 1er Décembre 1990
Orientation sexuelle : Hétéro.
Statut social : Riche.
Etat Civil : Célibataire.
Religion : Croit uniquement en elle

Famille : Pour elle, il ne lui reste que son père.
Origine : Italienne et Anglaise.
Capacités : Elle se doit d'être douée en tout mais elle est surtout bonne en combat rapproché et en psychologie.
Phobie : Eau.
Pêché : Colère.
Secret : A une maladie du coeur et est la fille du directeur du bâtiment A.
Désir : Apprendre des choses sur sa mère, voire la rencontrer.
Tic : Serre les poings quand elle est énervée.
Spécial : Cicatrice près de la poitrine. Une tache de naissance en forme d’ailes croisées dans son dos.

Caractère

Il est très difficile de la cerner. Aucune personne ne peut prétendre connaître Lali sur le bout des doigts. Même son propre père ne la comprend pas. On ne peut jamais prévoir ses réactions. Un jour, elle va rendre un sourire à un étranger dans la rue, l'autre elle aura envie d'aller l'égorger dans un coin. Elle peut-être très gentille comme très méchante. Arrogante et provocatrice, elle exaspère ses proches, comme ses ennemis. Lali peut se montrer très joyeuse et très sociable comme solitaire et sombre. Blessante, cassante, froide, colérique. Ou bien, charmante, accueillante, compréhensive… Il faut juste espérer pour vous que vous allez devenir son ami et non son ennemi. Quand elle tue, elle ne ressent pas de la pitié ou de la tristesse. D'un certain côté elle aime ça. Elle est douée pour ça et elle sait qu'elle oeuvre pour le bien, alors non, tuer ne la dérange pas. Elle montre une personnalité vraiment forte que rien ne peut atteindre, on lui a apprit à ne jamais faiblir. Et cette italienne ne pleure jamais: ça aussi c'est quelque chose qu'on lui a enseigné. Elle détèste tous les signes de faiblesses chez les autres et se sent mal à l'aise quand quelqu'un demande son aide ou son réconfort.

Physique

Elle possède un corps plutôt fin, élancée grâce à ses heures d’entraînement. 56 kilos avec une souplesse légendaire, pas de doute, on devine très facilement qu’elle aime l’entraînement physique. Du haut de ses 1m69, ses longs cheveux bruns, parfois caramel, descendent en cascade sur ses épaules. Elle ouvre sur les autres un regard très particulier qui se partage entre le cuivre et le caramel. Sa peau est légèrement halée, sans doute grâce à ses origines italiennes.

Histoire

Enfance

Alors qu’il commençait à neiger en Italie, la famille Zaffarano s’agrandit. En effet le 1er Décembre 1990 à 21H, la femme donna naissance à un petit garçon. Et le même jour, à 21h05, elle donna naissance à sa sœur jumelle. La famille était heureuse et unie jusqu’à l’année suivante. Une violente dispute, un départ et une vie entièrement changée. Mais ça, Lali n’en savait rien. Elle avait toujours vécu seule avec son père. Et quand on lui demandait où était sa mère, elle disait qu’elle n’en n’avait pas. Alors on se moquait d’elle bien sûr. Elle le répétait à son père qui lui disait « Tu es née sans mère, je n’y peux rien. Mais estimes toi heureuse de m’avoir moi. » Après ça, elle ne chercha plus jamais à comprendre pourquoi elle vivait seule avec son père comme unique famille. Malgré cela, elle eût une enfance plutôt calme et paisible. Heureuse même. Grâce à son meilleur ami surtout. Ezio était toujours là pour elle. Leur rencontre ? Elle avait 3 ans, lui en avait 5. Alors qu’elle se faisait frapper dans la cours de récréation, il arriva. Il se planta devant tous les enfants un peu plus âgés que lui. Heureusement, il était grand. Il faisait 7 ans et non 5. Alors les autres étaient partis. Il l’avait saisit par le bras, la releva avant de la prendre dans ses bras. Après ça, elle ne l’avait plus jamais quitté et lui non plus. Son père ne comprenait pas cette relation presque fusionnelle entre eux. Souvent, il dormait chez elle. Dans son lit, puisqu’elle ne voulait pas le lacher. Et elle chez lui. Rares étaient les moments où ils n’étaient pas ensemble. Du coup, elle comptait tellement pour lui que lorsqu’elle lui annonça qu’elle partait pour l’Angleterre, il décida de tout abandonner. Pour la suivre.

Moment difficile

A 7 ans, il se passa beaucoup de choses dans la vie de cette petite fille. Son père avait trouvé un poste en Angleterre. Un job très important pour lui. Elle ne savait pas trop de quoi il s’agissait. Son père n’était pas du genre bavard. Sa plus grande tristesse fut de devoir quitter Ezio. Mais sa plus grande joie, fut de le voir dans son immense jardin, caché entre deux buissons. Comme un vagabond, il dormait dans les rues, il venait manger avec Lali lorsqu’elle était seule et parfois même il réussissait à venir dormir avec elle. Il pensait à ses parents bien sûr. Il leur donnait des nouvelles. Et ils étaient juste contents pour lui. Puisqu’il était heureux d’être avec elle. Ce fut aussi à cet âge là, qu’on découvrit sa maladie. Maladie du cœur. Au début, c’était juste un rhume. Son père ne s’en était pas inquiété, il lui avait juste ordonné de rester au lit pendant quelques jours. Dès que le père de la jeune fille s’absentait, Ezio en profitait pour s’occuper d’elle. Il lui faisait à manger, lui tenait chaud, allant même jusqu’à l’assommer pour la faire dormir. Il était très inquiet, même si il ne le lui montrait pas, se contentant de se moquer gentiment d’elle. Puis son état s’était aggravé. Alors son père l’avait emmené à l’hôpital. On l’avait traité contre une pneumonie durant 3 semaines. Sans aucun résultat. On lui fit faire toute une série d’examen. Pour finalement lui apprendre qu’elle avait une maladie. Une maladie du cœur. D’après les médecins, une opération pouvait résoudre ce problème. Mais elle ne pouvait la faire que 3 ans plus tard car son corps de petite fille était encore trop fragile pour supporter une telle opération. Lorsqu’Ezio la retrouva, il fut très heureux de pouvoir enfin la voir et la serrer contre lui. Ne pas savoir comment elle allait pendant environ un mois avait été très douloureux pour lui. Lorsqu’elle lui annonça qu’elle avait juste eût une grosse pneumonie, il fut rassuré. Oui, Lali lui avait menti. Mais elle ne voulait surtout pas l’inquiété, alors elle ne lui avait rien dit. Et finalement, ce n’était pas plus mal.

Apprentissage

Ce fut aussi à 7 ans que son père commença à l’entrainer. Il était vraiment très dur avec elle. Il lui apprenait toute la psychologie de l’être humain et même celle des animaux. Il lui apprit à avoir l’esprit d’analyse, le sens de l’observation. Elle y passait des journées entières, sans pouvoir voir Ezio puisque son père la laissait entre les mains d’un ami proche. Mais aussi l’entraînement physique. Son père se fichait de sa maladie. Il disait que s’entrainer allait au contraire la rendre plus forte. Lali ne savait pas pourquoi il lui faisait faire ça. Mais elle préféra ne pas le savoir. Et cela dura 3 ans. Durant 3 ans elle ne put voir son meilleur ami que 3 fois par mois. Il lui manquait énormément bien sûr, mais son entraînement lui prenait trop de temps pour y songer. A 10 ans, elle eût enfin le droit de se faire opérer. Son père était présent, ce qui était plutôt incroyable. Après trois longues heures d’opération à cœur ouvert, on annonça à son père que l’opération avait été un échec. Cela l’affecta beaucoup. Mais elle n’avait pas le droit de pleurer. Son père lui disait « Oh arrêtes ça ! Il y a pire que toi, Lali ! » . Les médecins décidèrent donc de tenter une nouvelle opération lors de ses 14 ans. Elle n’eût pas son mot à dire bien sûr. Elle continua son entraînement, surtout le combat. Elle s’entrainait tous les jours de 6 à 22 heures et n’avait que 30 minutes pour manger. La jeune fille prenait sur elle pour rester éveillée tard le soir et voir Ezio. Il ne savait toujours rien sur sa maladie. Cela lui faisait du bien de le voir, il arrivait toujours à la faire sourire. Il connaissait tellement de termes scientifiques et il était si doué en informatique ! Il ne suivait les cours que grâce aux cahiers de Lali et pourtant il était tellement intelligent ! Elle était presque fascinée par lui, même si ça…Elle ne le lui a jamais dit. L’année des 14 ans arriva très vite. Mais ce fut à nouveau une déception. L’opération fut un nouvel échec. On lui proposa une troisième, mais elle s’opposa à son père afin de la refuser net. Et lui, du moment qu’elle continuait son entraînement, il disait amen. Puis à 15 ans, Lali décida d’apprendre enfin la vie. Elle commença enfin à se faire des amis dans son bahut, ce qui ne fut pas vraiment difficile. Et surtout, elle commença à s’intéresser aux garçons. Grâce, ou à cause de son physique, il y en avait beaucoup à s’intéresser à elle. Surtout des garçons plus âgés. Entre 17 et 20 ans souvent. Ezio, qui la surveillait toujours de loin, n’appréciait pas vraiment ça. Mais il ne voulait pas la contrarier, même si cela lui faisait mal de la voir embrasser quelqu’un. Un jour, s’en fut trop pour lui. Alors qu’il voulait lui faire une surprise pour son anniversaire, Ezio la trouva sur son lit. Avec un garçon certainement plus âgé qu’elle, qui était entrain de lui enlever son haut. Son cadeau était tombé au sol. Il restait là, immobile à observer. L’italienne s’était redressée et avait poussé le jeune homme qui protestait :

-Ezio ! Mais…Que fais tu là ?!
Sans savoir pourquoi, le jeune homme était furieux. Ses poings s’étaient serrés et il criait, hurlant sa colère :
-Oh, je vois ! Maintenant il faut une autorisation, une invitation spéciale pour entrer dans ta maison ! Tu me dégoutes, Lali…
Il avait donné un coup de pied dans son paquet avant de s’éloigner. Elle l’avait rejoint dans son jardin, le retenant par le bras :
-C’est quoi ton problème ?!
-Mon problème ?! Tu te fous de moi ! On passe tout tes anniversaires ensemble ! Et là, je te retrouve avec un mec à moitié nu dans ton lit ! Il a quel âge celui-là ? 19 ? 20 ?
Elle tourna la tête :
-Arrêtes ça…
-Il connait ton prénom au moins ? Il connait ton âge ? Je suis certain qu’il ne sait même pas qu’aujourd’hui c’est ton anniversaire !
-Ce ne sont pas tes affaires !
Le jeune homme soupira, reprenant son calme :
-Tu as raison Lali. Tu as trop profité de ma présence. Je me rends compte maintenant à quel point j’ai été stupide de penser que j’étais important pour toi. Maintenant, débrouilles toi sans moi. Tu n’es plus mon affaire. J’espère juste que tu seras te défendre sans moi.
Elle n’avait rien put répondre. Il était parti. Après cette dispute, elle ne l’avait plus jamais croisé. Ce souvenir ne sortait pas de sa tête et il n’en sortirait sans doute jamais. Il lui manquait bien sûr. Elle avait un vide béant dans son cœur. Mais elle lui en voulait aussi terriblement. Lui, il se contentait de l’observer de loin. C’était plus fort que lui. Il y avait plein de jolies filles à ses pieds. Mais lui ne voulait protéger qu’elle. C’est ainsi qu’il comprit. Qu’il comprit ce qu’il ressentait vraiment pour elle.

Nouveau départ.

Malgré le fait qu’elle travaillait peu, elle réussit à décrocher son diplôme. Ce dont son père se fichait totalement. Il n’habitait plus avec elle. Ne venait plus la voir. Il disait que c’était mieux pour elle. Qu’elle serait plus débrouillarde ainsi. Elle voulait faire des petites études, peut-être dans la psychologie. Mais son père ne lui a pas vraiment donné le choix de son futur. Elle devait travailler avec lui. C’est à se moment là, qu’elle découvrit en quoi consistait le travaille de son père. Non, il n’était pas avocat, comme elle le pensait. Il travaillait dans le bâtiment A. Son job consistait à diriger le bâtiment. Tous ceux qui étaient là dedans travaillaient pour lui. Et son Job, c’était tuer. Tuer les malveillants, protéger des personnes innocentes qui possédaient des informations capitales. Suivre des personnes et découvrir leur magouille. Et aussi, tuer les personnes du bâtiment C avant qu’elles ne vous tuent. Il fallait survivre, analyser, manipuler. Au début ce fut très dur. Surtout lors de sa première mission. Elle devait veiller sur une fillette de 10 ans qui avait vu le meurtrier de ses parents. Seulement, une personne du bâtiment B s’était infiltrée dans l’appartement. Et alors qu’elle consolait la petite fille, effondrée par la mort de ses parents, il lui avait tiré dessus. Elle n’avait rien put faire. Et elle était morte dans ses bras. Le rire de ce type la hantait à chaque secondes. Son père s’était contenté de ricaner en traitant sa fille d’incapable. Ce fut l’année de ses 19 ans qu’on lui proposa un remède, un soulagement pour son cœur qui lui faisait si mal. Une piqure. Toutes les 6 heures. Ce produit n’était pas encore testé. Alors, elle servait de cobaye humain. L’italienne n’avait jamais eût de nouvelle d’Ezio. Elle pensait souvent à lui, se demandant ce qu’il faisait. S’il allait bien. Elle était toujours en colère contre lui. Il l’avait abandonné. Et ça lui faisait terriblement mal. Maintenant, il fallait qu’elle avance…

Hors RPG

Pseudo : Fonda powaa !
Âge : 17 petites bougies !
Double-Compte ? : Pas pour le moment !
Comment l'avez-vous connu ? : Etant donné que j'en suis la fonda...
Comment le trouvez-vous ? : Ben, il est magnifique quoi ! =D
Présence (/7) : 4/7, ça dépend des jours.
Code du règlement : Validé by fonda powaa !!